*/ Histoire :
Il était une fois, au royaume de Suria…
Madame Johnson n’était pas une femme des plus fidèles, mais elle était belle, une vrai Lady, tout le monde la regardait quand elle passait dans une rue, les hommes ne la quittaient guère peu souvent des yeux pendant les fêtes, admirant et enviant le jeune homme qui dansait avec elle, ils écoutaient les bruits de ses talons sur le carrelage de la salle de bal, imaginant être à la place du danseur... Si ils étaient aussi beaux, s'ils avaient autant de charme que certains hommes alors ils auraient eu leur chance, mais les « si » ne sont jamais de bons amis.
Madame Johnson était jeune, pétillante et pleine de vie, elle recherchait un mari aimant, c’était une romantique Lady Johnson, elle avait été bercé par des histoires à l’eau de rose pendant toute son enfance, de quoi rendre quiconque perfectionniste. Elle voulait l’homme parfait, beau et fort, intelligent et rusé, attentionné et gentil, doux et sensible. Mais un homme comme ça n’existe pas, ou plus. Mais Madame Johnson ne le savait guère. Cette jeune femme aux cheveux de satin plaisait à tout le monde pour sa grâce et sa beauté, il n’était donc pas facile de trouver quelqu’un comme elle voulait, qui ne faisait pas attention à son physique.
Riche Monsieur Morgan, intelligent et rusé, beau et fort, mais glacial, froid et renfermer. Il est beau Monsieur Morgan, et fait tomber beaucoup, beaucoup de fille, oh oui, il est beau Sire Morgan. Tout le monde l’aime, l’adule, mais pour lui, ce ne sont que des clients, car ce riche homme a une célèbre entreprise, une grande entreprise, une entreprise de vêtement, c’était surement la meilleure de toutes les entreprises de vêtement. Ils étaient tous à ses pieds.
« Bonjour Sire Morgan, comment allez-vous ? Les affaires marchent bien en ces temps si non ? Avez-vous repensé à ma demande de partenariat … ? »
Ou encore :
« Enchanté cher monsieur, nous avons entendu de vous et de votre grande entreprise de vêtement, d’ailleurs seriez-vous intéressé par cette gamme de vêtements innovants … ?
Riche Monsieur Morgan était lasse de leur petite tentative de manipulation, ces escrocs étaient tous sans exception des rapaces avides de gains, de bénéfices.
Un homme confronté aux dures lois des marchands, la concurrence, le plagiat, ou encore les tentatives de meurtres finit vite par devenir paranoïaque.
Une femme confrontait aux dures réalités de l’amour devient vite désespérée.
Riche Monsieur Morgan reçu un beau jour une lettre, il ne s’empressa pas de l’ouvrir, ça devait être encore une demande d’aumône. Car dans le monde du business, il y en a des vertes, et des pas mures. Une journée de travaille passa, puis deux, puis trois pour qu’il se décide enfin à l’ouvrir.
«Cher Monsieur Morgan, vous êtes convié à la grande soirée en l’honneur de Monsieur Smithin pour sa nouvelle branche d’entreprise créait. Ceci est un bal masqué, venait avec un costume en couleur, et un masque. Soyez original. Les meilleurs masqués seront nommé roi et reine de la fête ! Rendez-vous chez le grand manoir Smithin . Veuillez agréer nos plus sincères sentiments. »
Monsieur Morgan n’avait plus reçu d’invitation depuis longtemps, c’est dire, il n’y répondait jamais... Et n’y voyait aucun intérêt, aucun bénéfice. Mais il était fatigué en ce moment, il avait besoin de se détendre, alors il se dit :
*Monsieur Smithin, ce petit nouveau dans ce monde si dur, je me demande combien de temps il tiendra… Peut être s’endurcira-t-il ou peut être que non. C’est un pari intéressent, je suis curieux de voir les moyens qu’il a utilisé pour sa fête… Et puis cela fait si longtemps. *
Madame Johnson reposa une lettre sur la table, cette lettre était beige et parfumé, une invitation à un bal masqué. Ce serait parfait un bal masqué pour trouver un premier amour, qui ne l’aime pas que pour sa beauté supérieur. Cet homme existait-il ? Elle le verrait bien. Mais qu’allait-elle mettre… un costume bleu ? Non surement pas, Lady Johnson portait mal le bleu, même si tout lui allait à merveille, elle avait ses goûts. Une robe rouge ? Oui cela était une bonne idée.
Un soir, un beau soir étoilé, une nuit de fête, Monsieur Morgan était là, regardant les femmes masquées dansaient, riants, parlants. Elles ne l’intéressaient pas. Elles n’étaient pas assez futées pour ça. De tous les hommes son costume était surement le plus réussi, une sorte de tuxedo bleu avec des nuances de bleus claires. On aurait dit un diamant illuminé par une lumière bleu, sans faire flashy. C’est là qu’ils se rencontrèrent, s’aimèrent. Monsieur Morgan regarda une jeune femme habillait dans une somptueuse robe rouge.
« Très cher Monsieur, m’accorderiez-vous cette danse ? »
Surpris le riche Monsieur Morgan étudia la jeune femme. Elle portait un masque rouge écarlate avec des petites nuances d’ocre autours des yeux, ainsi que des traits ciselés dans le masque. Le masque était de toute beauté, mariant très bien différente nuance de rouge. Mais la robe l’était encore plus, elle était rouge écarlate, longue mais pas encombrante, mettant en valeur les formes généreuse de la damoiselle.
Un soir, un beau soir étoilé, une nuit de fête, dans un manoir éclairé par des feux d’artifices, de ce manoir sortait un son mélodieux, un mélange de musique et de rire d’homme. Madame Johnson dansait, éblouissante. Elle accepta plusieurs invitations.
« Me feriez-vous l’honneur de danser ? »
« Ma dame, votre exquise beauté m’a aveuglé, une danse vous plairait-t-elle ? »
« Compte Marks pour vous servir, me permettais vous d’avoir le droit à une danse ? »
Toutes furent acceptées, elle les charmait tous de son rire cristallin, quand elle vit cette homme, la trentaine avec un tuxedo bleu, ainsi qu’un masque rappelant l’océan et ses reflets, elle tomba sous le charme, désinvolte, presque désintéressé ou ennuyé, il regardait la fête, dans sa bulle. Ne pouvant se retenir, elle lui proposa une danse.
«Hum, ce serait une chance pouvoir danser avec la divinité de la soirée. »
Il avait remarqué que tout le monde louchait sur elle, la dévisagé.
Même sous leur masque, l’un et l’autre se fixait, se lançant des regards complices. Ils dansaient à merveille, éblouissant la piste, ils étaient tout deux au centre de la fête. Et furent nommés tout deux : reine et roi de la fête.
C’était le coup de foudre, ils se marièrent, ils étaient jeunes, l’un avait vingt-neuf ans, l’autre vingt-cinq ans. Ils étaient naïfs, même Monsieur Morgan l’était.
A présent Madame Morgan, n’était plus Madame Johnson. Elle voulait un fils, mais son marie était malheureusement stérile. Elle en était toute bouleversée quand elle l’avait apprise. Mais cela ne dura pas. Car un beau jour, ou plutôt une nuit, elle rencontra un jeune elfe, il se nommait Rowen, Rowen Soel. C’était dans une rue assez malfamée, elle était allée pour acheter des potions rendant fertile un homme à un apothicaire, elle se berçait d’illusion en y croyant, mais sait-on jamais ? Mais sur le chemin, elle vit un homme sublime, avec des traits fins, très fins, une peau qui avait l’air si douce... Elle avait envie de la caresser...
Monsieur Morgan était stérile, et il s’était renfermé de plus en plus malgré son épouse, il ne pourrait pas avoir d’héritier, et cela ne lui plaisait guère. Il voulait juste un héritier, pas un fils, car il ne pourrait plus l’aimer, il avait donné toute sa vie à son entreprise, il s’était marié à cette entreprise, sa femme ? Simple formalité...
Lady Morgan s’approcha du jeune elfe, un sourire aux lèvres.
« Bonjour mon jeune homme, je cherche l’apothicaire du quartier, pourriez-vous m’aider ? »
Le jeune elfe se comporta en gentleman et l’y conduisit, puis il s’avéra qu’ils dinèrent ensemble, l’elfe était passionné par sa beauté, il se nommait Rowen, elle était passionnée par lui, sa grâce. Ils eurent une relation, d’un soir, de deux, de trois, elle dura longtemps sans que Monsieur Morgan ne s’en aperçoive, trop obnubilait par son travail.
Puis le bouleversement, l’hécatombe, la surprise. Lady Morgan eut un fils, pas n’importe lequel, avec un père elfe, ce n’était pas le fils de Mr. Morgan. Sauf que cette elfe, ce père, avait disparu depuis plus d’un mois, laissant sa mère dans une profonde détresse, qui disparue à l’arrivé de ce petit bonhomme aux yeux envouteurs, alors pour Lady Morgan une nouvelle vie commença.
« Donc, tu m’as trompé, en clair ? » Dit Mr Morgan très clairement sans colère.
La jeune femme à ses cotés tenait un bébé dans les bras, lui caressait doucement les cheveux…
« … On peut dire cela comme ça, très cher. Et toi ? Ne m’as-tu jamais trompé ? Avec cette chose, ton travail. »
L’homme impassible ne dit rien à ce sujet et se contenta d’une simple parole, qui soulagea ô combien Lady Morgan.
« Il sera mon successeur. »
Le jeune garçon grandit avec une mère omniprésente, et un père absent. Le petit garçon aux cheveux blancs commença très vite des études pour apprendre à lire, écrire, appendre le business, la vie, la manipulation.
« Car sinon, il se fera manger, je ne permettrais pas que mon œuvre sombre. »
Pendant toute sa jeunesse on lui apprit à se montrer inflexible, fort. Il n’avait qu’un entourage limité, se composant de ses professeurs et de sa mère. Il n’était pas souvent en contact avec d'autres enfants de son âge, ce qui ne développait guère en lui l’honnêteté, ni la capacité à faire part de ses sentiments.
Son apprentissage finit, vers ses douze ans le jeune homme commença à prendre part à la société, la haute. Il prenait par à quelques fêtes, découvrant ainsi un monde de débauche qu’il n’aurait jamais imaginé. Son père s’occupant très peu de lui n’était que très peu gênait par la présence de son fils à toutes les fêtes possibles. Rowen y prenait goût, puis il vieillit et s’enfonça encore plus dans ce monde de débauche, de délire.
Rowen souriait, « sa proie » était là. « Elle » le regardait surement intriguée par ses yeux, ce qu’elle était belle… Il se dit en souriant encore plus qu’il avait vraiment bon goût. Il s’approcha d’ «elle» d’une démarche légère, réajustant ses lunettes, et plongeant ses yeux dans les siens.
« J’aime pas qu’on me dévisage, retourne toi. Et je voudrais un cocktail. »
… La surprise, jamais une fille ne lui avait parlé sur se ton cassant, et jamais une n’avait fait preuve d’autant de mépris envers lui, comment osait-elle… Mais le jeu continuait, et le dernier mot, Rowen l’aura.
« Je vous demande pardon ma très chère dame, il me semble m’être perdu dans vos jolies yeux un instant… »
Toutes y succombaient.
« Humf… Charmant garçon, tu pourrais m’apporter un cocktail et nous pourrons parler. »
De nouveau la surprise.
« Je crois qu’il y a un mal entendu... Ici c’est une maison d’hôte pas un bar… Si vous le désirez par contre nous possédons du thé… Et quelques livres pour vous entrainer à lire, on ne sait jamais, vous avez eu du mal à lire la pancarte non… ? »
La bataille continua.
« … Imbécile borné et moins que rien, dis moi toi qui est si intelligent, comment vais-je réagir... ? »
Moins que rien … ? C’en était trop, il vivait dans une sorte de bordel miteux, avec des vêtements miteux, ça ne le dérangeait pas, mais qu’une femme le traite comme ça… Il serra les dents gardant son sang froid, puis s’apprêta à gifler la donzelle qui avait osée lui parler comme ça. Rowen n’en fit rien, il n’eut le temps de lever la main pour se retourner à terre avec une douleur dans l’entrejambe et sur le ventre, les talons de la femme étaient posés sur sa gorge. En l’espace d’un instant il s’était fait battre, mis à terre, et tout son petit monde, sa petite personne s’écroula. Comment en était-il arrivé la déjà … ?
Les fêtes n’en finissaient pas, il était riche, se droguait, buvait et baisait. Jusqu'à ses dix neuf ans il profita de sa richesse et de ses charmes, vagabondant de conquête en fête, de fête en conquête. Mais, car oui dans sa belle vie, il y a eu un « mais », un « mais » contraignant, son père le convoqua. Ils avaient une relation assez bizarre, comme celle d’un élève au directeur de son école. Rowen n’avait jamais considéré ce type comme son père, Mr Morgan n’avait jamais considéré ce garçon comme son fils. L’intérêt voilà ce qui les réunissait.
« Il est temps, tu es grand, il est temps que tu pennes part à cette entreprise. Les fêtes sont terminées. » Directe, explicite et sans appel, c’était un ordre…
« Mais… M… Père vous ne pouvez pas en décider si vite, je … Je refuse ! »
Il osa.
« Tu oses… Fils bâtard indigne, je t’ai élevé, instruit … ! Et tu me remercie comme ça ? Va-t-en… Tout de suite et ne revient plus. »
Le garçon ne discuta même pas, son père non biologique était dans une colère noire, après tout son seul héritier le trahissait.
Rowen se mit à errer dans les rues, mais à part boire, jouer, il ne savait rien faire de ses mains. Il finit par s’engager dans un cercle d’hôte.
Et voilà que toutes ses certitudes s’effondraient, lui avec. Il se croyait le meilleur, mais enfaite, il n’était qu’un hôte à la fortune perdue, sans force face aux gens qui ne sont pas naïfs. De cette conclusion, il décida de devenir un assassin.
Cette partie de sa vie qu’il n’apprécie guère est surement la plus sombre, il rentra dans une sorte d’organisation d’assassin plutôt célèbre. Sa vie se compliqua encore plus, il était novice, donc suivit un entrainement très strict. Il apprit toutes sortes de techniques plutôt effrayante, rapide et efficace, mais pas sans souffrance. Le premier choc vint pour son premier meurtre, la vie d’un humain change du tout au tout après un meurtre, Rowen devint plus calculateur, plus fourbe, plus tout. Mais cette période de sa vie se résumée à une chose, une unique chose, une chose redoutée par tous, les damoiseaux, damoiselles, vieillards, vieillardes : la mort. L’assassin était le bras droit de la mort, accomplissant scrupuleusement les ordres.
« La discrétion ?! Et non nous n’avons pas de poignard en stock Morgan ! »
Un colosse toisait Rowen, le regardant de haut, Rowen le gringalet face à Mr Muscle.
« Oui la discrétion très chère, vois-tu même si tu es quelqu’un de foncièrement, et inéluctablement stupide, je pense que tu peux comprendre que la force brute n’est pas le meilleur moyen de… »
Tout était calculé, Rowen voulait gravir des échelons, l’ambition. Calculé scrupuleusement. Le colosse s’énerva, il se trouvait être le supérieur de l’hybride. Vous savez mes chères, dans ce monde, l’apparence compte, l’influence compte, en ce monde superficiel, seuls les plans permettent l’ascension. Rowen le métis manipulateur avait fait son plan, quoi de plus normal pour un personnage fourbe et calculateur, n’est-il pas ? Un an sans changer de grade alors qu’il accomplissait ses missions avec brios… Quel ennui. Rowen voulait accélérer les choses. Et pour ça ? Rien de mieux que le meurtre, oui en l’espace d’un instant on peut briser une vie, et se projeter vers le haut.
Rowen marchait gracieusement avec son sourire narquois, et ses yeux malicieux. Il devait « la » trouver. Il était temps. Son dernier calcul au sein de cette confrérie, son dernier plan. Pour arriver à son niveau il en avait trimé. Ou plutôt il en avait tué. A chaque fois cela le rendait plus sadique, mais il ne se comparait pas à ses camarades psychopathes complètement fous qui ne pouvaient se retenir, qui n’avait aucune subtilité. De vulgaires, de simples déchets. « Elle » serait bientôt là. Rowen souriait, maintenant assis. Méticuleusement, il avait décortiqué toutes les alternatives. « Elle » allait payer. Rowen n’était pas particulièrement rancunier, mais « celle là », il s’était juré de l’avoir.
« Je vous demande pardon ma très chère dame, il me semble m’être perdu dans vos jolies yeux un instant… »
« De… Toi ? Ca faisait longtemps tien ! Tu viens encore pour te faire mettre à terre. »
Le jeune homme arrêta de sourire, et d’un air penaud s’excusa. Il lui proposa pour s’excuser une promenade. Et la pirate tomba bêtement dans le piège, manipulateur. Ils étaient dans une ruelle sombre quand Morgan sourie de nouveau, il tira très doucement un couteau, sans créer ne serait-ce qu’un bruit, puis le brandit soudainement devant la pirate du cercle d’hôte.
« Je vous l’offre en signe d’excuse. »
La pirate qui avait fait un petit saut de coté, le regarda un instant, puis approcha la main de son couteau… Et le prit. Elle regarda un instant le couteau détournant le regard de l’homme. Puis tomba au sol. Un filé rose coulait le long de ses pulpeuses lèvres, descendait dans son cou, se mêlant à un flot écarlate, qui finissait dans son corsé. Cela était fait. Précis et mortel. Il ne revient jamais sur une de ses décisions, n’arrête jamais ce qu’il commence.
Rowen brûlait tous ces dossiers. Un par un, tous s’embrasaient, la danse des flammes allumaient la pièce, éclairé le regard du croisé, ses yeux dorés malicieux. Il avait réuni tout les dossiers sur lui, tous les dossiers administratifs. Il ne manquait plus qu’à tuer toutes ses connaissances un peu trop proches. Des assassins évidements. Ce qu’il fit. Il ne manquait plus qu’une chose. Rowen avait emporté un gigantesque sac avec lui dans la pièce au feu dansant, un sac qui pourrait contenir un humain. De ce sac, il sortit tout d’abord une poche de sang, et ensuite un… Corps. L’hybride taillada le corps avec son couteau et répandit le contenu de la poche de sang dessus, sa poche de sang. Son sang. C’était parfait. Rowen sortit à nouveau un corps, qui servit à nourrir le feu. Aux yeux de cette confrérie, il est mort, aux yeux de cette confrérie, cet homme alcoolique a tué tous ces assassins pour venger sa défunte fille. Aux yeux de cette lugubre entreprise l’homme était mort en se battant. Brulant avec lui tous les dossiers qui concernait Rowen et d’autres.
Voilà maintenant plus d’un mois qu’il se demandait ce qu’il pourrait faire. L’indécision. Mais pourtant, il y avait une petite voix qui lui chuchotait un mot.
Pirate. Voilà ce qu’il était devenu, un pirate des airs, du clan momiji. Comment ? Et bien, comme toutes autres il avait trainé dans quelques quartiers mal famés. (Puis bourré et drogué avait signé un contrat en tant qu’espion) Il repéra très vite les « recruteurs », et se fit très vite recruter, après avoir prouvé ses compétences, en tant qu’espion. Il resta un pirate jusqu'à la mort du boss et de son épouse ce qui l’attrista un peu, mais la suivante Leila, le conquit tout de suite, et était surement la personne à qui il ne mentirait jamais. Son choix fait il devient aussi trésorier.
« Bon en calcule ! »