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 Paul-Émilien Merandwind

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2 participants
AuteurMessage
Paul-Émilien Merandwind
*[ Habitant de Suria ]*

Paul-Émilien Merandwind


Masculin Nombre de messages : 6
Âge : 20 ans
Capacité spéciale : Aucune
Signe(s) particuliers(s) : Aucun

Clan : Aucun
Serment d’allégeance : Aucun

Porte-monnaie : 0.

{ All About You
Profession: Mercenaire / Président de la compagnie de transport Par Vent et Mer
Race: Humain
Effets Personnels:

Paul-Émilien Merandwind Empty
MessageSujet: Paul-Émilien Merandwind   Paul-Émilien Merandwind Icon_minitimeVen 29 Avr - 18:15

DJ (Dans Jeu)

I-État Civil
Nom : Merandwind
Prénom : Paul-Émilien
Surnom : « Le Mercenaire sans alliance » ou « Celui qui s’en fout »
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Sexualité : Homosexuel
Race : Humain
Signe : Air
Lieu de Naissance : Kelatolie
Lieu de Résidence : Quartiers riches d’Anthélima
Métier : Mercenaire / Président de la compagnie de transport Par Vent et Mer
Classe Sociale : La Haute
Clan : Aucun
Élu des Dieux ? : Non
Partisan ? : Non


II-Physique
Physique Général :
Ce qui frappe avant tout, ce n’est pas son apparence physique en tant que tel, mais ce qu’elle dégage. Paul-Émilien respire l’assurance, la maîtrise de sois, mais surtout, la froideur glaciale de sa personnalité. Ses yeux bleus clairs sont lourds, menaçants même tant son regard est dur, démontrant une nature inébranlable impossible à soumettre. Son regard transperce les gens comme s’ils n’étaient rien de plus que de misérables tas de cendre, crachant parfois un venin moqueur comme on crache un défi. Ce sont des yeux vidés d’émotions, sans vraie colère ni vraie joie, juste animés par l’arrogance. Dans le feu de l’action, cependant, ces prunelles glaciales s’embrasent d’un feu brûlant d’intensité, qui s’éteint bien trop vite sitôt l’adrénaline dissipée. Le reste de son visage n’est plus grand-chose face à de tels yeux : un nez doit et fin plein élégance, des lèvres minces qui ne sourient jamais. Parfois, elles étirent un rictus hautain presque sauvage, mais qui disparait bien vite. Le tout encadré de longs cheveux soyeux lui arrêtant à la taille, dont le noir prend facilement des reflets bleutés.

Pour la silhouette générale, Paul-Émilien est grand, mince, élancé. Chacun de ses mouvements inspire la calme, la maîtrise, la dignité. Son pas est assuré, fluide, sa foulée longue, et les peu de fois où il a à courir, c’est toujours avec une certaine grâce aérienne. Ses mouvements sont un peu comme sa voix profonde, sans être trop grave, d’une douceur et d’une sensualité sans pareille malgré ses tons cinglants et venimeux. Il s’habille finalement noblement, mais sans parures encombrantes car il préfère avant tout l’utilité. On le voit généralement dans les tontes de rouge et noir, parfois accompagné de bleu et de blanc. Finalement, il ne met ses épaulettes que lorsqu’il travail à sa compagnie, car elles peuvent être facilement détachables et s’accommoder à n’importe quel manteau officiel.

Signe(s) Particulier(s) : Aucun.
Taille : 1m75
Poids : 60 kg


III-Personnalité
Caractère général :
Paul-Émilien s’ennui, et cet ennui est comme un loup qui lui dévore incessamment les entrailles à lui en faire mal. Qu’importe la réussite de sa compagnie, sa belle vie luxueuse et les soirées chics avec la Haute. Qu’importe aussi ses missions de mercenaire avec les pirates ou les Sentinelles, qui parviennent à allumer ne serait-ce que quelques heures son regard d’une lueur brûlante. À la fin, c’est toujours l’ennui qui le reprend, qui pèse sur ses épaules et lui fait réaliser qu’il est seul et sans rêve. C’est pourquoi Paul-Émilien saute sur toutes les occasions possibles et inimaginables, et l’adrénaline qui coule dans ses veines lors des missions est une véritable drogue : délicieuse, mais éphémère. Téméraire, mettant même sa vie en danger bien plus souvent que nécessaire, il s’amuse chaque fois à tester la mort, comme espérant qu’elle vienne le prendre pour le libérer. Peu lui importe la conséquence de ses actes ou ce qui est enjeu, il fonce tête baissé et vie à jour le jour. Et comme il n’a jamais réussi à se lier d’amitié avec qui que ce sois, il n’hésite pas à commettre ce que certain peuvent appeler traîtrise. Mais comme il n’a donné aucun serment, est-ce vraiment un traître? C’est pourquoi ses coéquipiers le traitent-il toujours avec méfiance, mais respect. Après tout, le temps d’une mission, il reste l’un de leurs meilleurs alliés.

Sinon, en règle général, Paul-Émilien est un homme neutre, voir glacial avec les gens qui l’entourent. Hautain, moqueur, mais l’attitude parfaitement noble et distingué, il dégage une sorte de charisme étrange, entre la haine et la fascination. S’il l’avait choisi, s’aurait pu être un très bon pirate, mais sa manière désinvolte de voir les choses en a décidé autrement. Il traite avec indifférence chacun et chacune, mettant ainsi à pied d’égalité toutes les classes et différentes personnes qui existent. Il est très difficile d’avoir son intérêt, car il a tendance à se dégager des gens, les trouvant tous banals. Cependant, il ne se trouve pas plus supérieur ou intéressant qu’un autre, contrairement à ce qu’il peut dégager. Il est très discret sur sa vie, ses pensées et ses exploits, et préfère le silence à la discussion, à moins que celle-ci ne soit strictement utilitaire et ne concerne son travail de mercenaire ou de chef d’entreprise. La seule chose qu’il accepte de dévoiler, et qu’il utilise presque comme crédo, c’est qu’il est adepte de la neutralité du je-m’en-foutisme.

Qualités : Autonome, efficace, calculateur, intelligent, courageux
Défauts : Hautain, indifférent et têtu
Goûts : L’aventure, l’action et les défis.


IV-Histoire
On ne peut raconter l’histoire de Paul-Émilien sans commencer par l’histoire des Merandwind. Voici donc une petite étude faites sur cette singulière famille de la Haute, et ancienne noblesse. Il est très facile de remonter dans le temps, car les documents tenus par la noblesse sont très nombreux et tenus avec une incroyable justesse. En effet, les registres étaient le meilleur moyen de prouver les origines de leur rang et de garder le sang pur au fil des générations. Finalement, tout le monde sait que les nobles et gens de la Haute sont férus d’arbres généalogiques et gardent précieusement ces inestimables parchemins sur leurs origines.

Maintenant, comme vous devez le savoir si vous avez été bien attentifs à vos cours d’histoires, l’aristocratie vit le jour en 2354. Hors, dans l’écrit qui fut tenu cette année-là, on ne voit nul par le nom de Merandwind. Il faut pour cela attendre 270 ans avant qu’il ne rentre dans l’histoire, et encore, c’est sous le simple nom de Merand, jusque là connue comme une famille de simples fermiers. Hors, durant la Guerre des Races, il était courant que les cultivateurs participent à l’effort de guerre en envoyant leurs fils les plus robustes comme soldats. C’est ainsi qu’en 2624, à l’âge de quinze ans, s’engagea le jeune Séverin Merand, futur fondateur de la famille Merandwind.

Il s’avéra que le jeune homme prouva à de nombreuses reprises sa valeur sur le champ de bataille et parvint à grimper au plus haut grade que lui permettait son sang de serf. En 2628, sa détermination et son courage furent récompensés quand il parvint à sauver son seigneur d’une mort certaine. Celui-ci régla de bonne grâce sa dette en donnant un titre de noblesse à son sauveur et même en lui proposant la main de sa dernière fille. Sur conseil de son beau-père, Séverin Merand changea son nom pour Séverin Merandwind, qui faisait plus noble, et ainsi la famille entra-t-elle dans le registre.

L’histoire raconte que la famille Merandwind, bien qu’avec des débuts rustiques, se forgea bien vite une attitude digne de la noblesse au fil des générations. Néanmoins, les autres nobles refusèrent de considérer leur titre jusqu’à ce qu’arrive la septième génération en 2808. Leur titre fut alors officialisé une seconde fois, et cette fois approuvées par tous les aristocrates reconnus. Rendu à ce point de l’histoire, je ne m’épuiserais pas à plonger en détails dans l’arbre généalogique, car l’on se perdrait aisément dans les ramifications et leurs dissolutions dans les mariages avec d’autres familles aristocrates. Reste que le tronc principal, bien résistant aux années, était solidement établi sur les abords de l’Océan du Midi, où il régnait en seigneur sur un petit village prospère.

Il fut ainsi jusqu’à la suppression de la noblesse en 4288, soit environ avec la dixième génération des Merandwind. Hors, il s’avéra que la famille ne connu pas une sévère révolution surienne, car leurs villageois avaient en grande estime leur seigneur. En effet, beaucoup diront que leur bannière « La noblesse du cœur avant la noblesse de sang » reflétait de beaucoup leur tempérament. Les Merandwind étaient des gens près du peuple, et très concernés par leur bien-être. Ce fut essentiellement pourquoi ils survécurent à la révolution, contrairement à certaines familles aristocrates qui furent renversés et décimés par la violence. Lors de l’annonce de la suppression de la noblesse, ils n’offrirent aucune résistance et renoncèrent à leur titre en disant que c’était là le choix des citoyens. Puis ils déménagèrent dans un modeste manoir en Kelatolie, qui appartient encore et toujours à la famille malgré l’agrandissement de la ville, l’urbanisation et les multiples rénovations qui vont naturellement avec l’écoulement du temps.

Durant vingt ans, la famille connut une période de dettes et de relative pauvreté. En 4308, c’est le décès du chef de famille, Pierre-Yves Merandwind, qui fit changer les mentalités. L’homme était mort de tuberculose car la famille n’avait même pas assez d’argent pour chauffer au feu tout l’hiver. Sa femme, Jeanne Merandwind, fortement touchée par son décès et prenant désormais tête de la famille, pris la décision majeur qui sauva probablement la famille d’une déchéance certaine. Dans ses mémoires, qu’on peut retrouver dans la section des archives historiques de la Grand Bibliothèque de Kelatolie, un passage montre ce changement de mentalités. Il va comme suit : « Si nous sommes destinés à êtres des gens du peuple, car c’est bien ce que nous sommes devenus à l’abolition de nos titres, et bien acceptons complètement ce destin plutôt que de se voiler la face. Nous n’avons plus de serfs pour nous donner le pain et l’argent, les myrs ne tomberons pas du ciel. Si nous voulons garder encore un peu de dignité, il faut oublier ce qui faisait l’honneur des nobles et se réveiller à l’honneur des citoyens. Et cet honneur, on le gagne en travaillant. » C’est donc Jeanne Merandwind qui partie la compagnie Par Vent et Mer, assurant le transport et la livraison de toute marchandise.

Grâce à un esprit stratégique et innovateur, sa compagnie prit rapidement de l’expansion, si bien qu’aujourd’hui on retrouve des succursales dans toutes les grandes villes de l’île, chacune possédant un nombre hallucinant d’Aérostats marchands de première qualité. C’est cette compagnie qui réussit à redorer le blason des Merandwind, leur assurant une prospérité monétaire ainsi qu’une place importante dans la Guilde des Marchands de Kelatolie. Encore maintenant, les Merandwind sont à la tête de Par Vent et Mer, ce qui leur permet de rester sans problème parmi la Haute.
_ _ _ _ _

Maintenant ce petit cours d’histoire donné, penchons nous sur des éléments plus récents. En 4652 naissait Léonard-Jean Merandwind, fils unique et héritier de la famille. Il s’avéra que, lors de la Fête du Printemps, il s’éprit d’une citoyenne d’une beauté éclatante. Il l’invita si souvent à danser que, le lendemain, Kelatolie résonnait des potins et rumeurs autour de la favorite au doux nom de Maria. Bien que n’étant pas de la Haute, sa famille était fort aisée et travaillait dans le commerce comme marchands de vêtements chics. Ils utilisaient d’ailleurs les services de transport Par Vent et Mer, si bien que Léonard-Jean put retracer la jeune femme et lui demander sa main. Ils se marièrent en mai, les parents ne s’opposant nullement à cette union malgré le rang social de Maria, et semblerait-il qu’ils aient prononcé leurs vœux en chœur. Bref, la chance semblait leur sourire.

C’est le onze décembre 4677 que naquit Paul-Émilien. Il y eut malheureusement de graves complications durant l’accouchement, et Maria se retrouva paralysée des jambes. Obligée de vivre en chaise-roulante, on lui conseilla de ne pas avoir d’autres enfants, car un second accouchement pourraient aggraver son état, voir même être mortel pour elle et le futur poupon. C’est sous ce triste évènement qu’on célébra la naissance de la 82e génération des Merandwind. L’atmosphère s’alourdie cependant lors du rite pour déterminer le signe du bébé : il fallut répéter plusieurs essais avant que la feuille ne se coupe finalement à la verticale. On annonça avec une certaine tristesse que l’enfant était un Rejeté, et que c’était peut-être dû à son accouchement difficile. Depuis, Maria devint une femme silencieuse, mélancolique. Paul-Émilien ne se rappel même jamais ne l’avoir vu sourire, et ce peu importe ses tentatives de petit enfant pour faire revivre la joie dans le cœur de sa mère.

Le caractère de Léonard-Jean n’en était pas mieux. Ne pouvant supporter l’atmosphère lourde et triste de sa demeure, il ne cessait de s’absenter pour des raisons de travail. En 4682, soit lorsque Paul-Émilien avait cinq ans, ses parents brisèrent leur promesse et son père quitta pour s’établir à la ville d’Abyr. Il ne revit plus jamais son fils, et ne voulait pas vraiment le revoir car il lui attribuait un peu injustement la faute de ses malheurs. Ce n’est que plusieurs années plus tard que Paul-Émilien apprit qu’ils avaient divorcé parce que Maria avait découverte que Léonard-Jean entretenait une maîtresse à Abyr. Léonard-Jean et sa nouvelle femme moururent dans un accident de Speeder peu de temps après leur mariage. Paul-Émilien, qui n’avait jamais vraiment connu son père, ne pleura pas lors des funérailles, contrairement à sa mère.

Maria sombra par la suite dans une dépression plus profonde encore qu’elle ne l’était avant, si bien que Paul-Émilien fut envoyé en pensionnat à Anthélima quant on vit qu’il était négligé. C’est là que Paul-Émilien se forgea pour devenir celui qu’on connait aujourd’hui. C’était un enfant solitaire, très entêté, avec sa propre opinion des choses. Mais surtout, c’était un enfant désabusé et indifférent, qui se plaignait sans cesse d’ennui profond. Cet ennui dévorant pris fin le jour de ses treize ans pour devenir un ennui tolérable, car il découvrit alors l’adrénaline de la fugue et des quartiers pauvres. Parmi la racaille des rues, il se fit bien vite connaître comme le « p’tit duc qui a des couilles ». On le reconnaissait à sa dégaine de riche et son regard féroce pétillant du désir d’aventure. Il était toujours partant pour se battre ou pour faire parti des mauvais coups, mais ne se joignait qu’à l’équipe qui payait le plus. Pas d’alliance à aucune gang, pas d’ami, on s’entendait que c’était le plus dur des durs parce que lui, au moins, il assumait d’être pleinement et totalement indépendant. Et il n’avait peur de rien, même pas de la mort.

Paul-Émilien manqua un nombre incalculable de fois d’être expulsé pour sa mauvaise conduite, mais chaque fois on finissait par le garder, parce que ses notes étaient des plus exemplaires. À ses seize ans, il abandonna ses études et retourna à Kelatolie pour faire revivre de ses cendres l’entreprise familiale, qui frôlait la faillite depuis la mort de son père. Il s’en sortit de main de maître, et on finit par tolérer la présence de cet adolescent excentrique et marginal dans le monde du commerce. Bien que protestant au début, ses employés devinrent vite respectueux à son endroit, car Paul-Émilien faisait preuve de la même sévérité mais bonté que ses ancêtres, et ses décisions se révélèrent chaque fois parfaitement prises. Pendant cette période de renaissance pour la compagnie, le jeune ne passa que peu de temps en compagnie de sa mère, devenue une ombre fantomatique qui ignorait sa présence, et consacra toute son énergie à Par Vent et Mer.

À 18 ans, il s’acheta une petite maison dans les quartiers riches d’Anthélima, fuyant la tristesse de la maison familiale où Maria se laissait mourir de chagrin sans espoir d’être sauvée. La compagnie ayant retrouvée un niveau stable, le jeune homme recommença bien vite à éprouver l’ennui, et repensa à ses années dans les rues malfamées de la cité. Poussé par l’aventure, il se mit en quête de petits emplois à risques, prenant indifféremment le parti des pirates ou des Sentinelles. Tranquillement, il commença à se faire un nom comme étant « le Mercenaire sans alliance », celui qui change de camp comme on change de chemise et qui accepte n’importe lequel des boulots, tant que ça lui rapporte. Ceux qui eurent aussi la chance de se battre à ses côtés le surnommèrent « Celui qui s’en fout » car Paul-Émilien ne cessait de répéter qu’il n’était pas neutre par pacifisme ou par équité, qu’il était neutre par ce qu’il se foutait des conséquences.

Même si on l’a vu régulièrement avoir des activités avec les pirates, les Sentinelles ne le voient pas comme un danger potentiel, puisqu’il est aussi l’allié de ces derniers. Quoi qu’allié est un grand mot, encore une fois. Il est aussi connu que Paul-Émilien utilise la maison familiale de Kelatolie comme planque pour ses actes criminels, et comme sa mère est depuis longtemps déconnectée de la réalité, ce n’est pas elle qui va y dire son désaccord. Sinon, malgré son âge, le jeune homme refuse de se marier pour perpétrer la lignée des Merandwind, et ne semble pas prêt non plus à trouver l’amour tant les gens semblent l’ennuyer profondément ou lui paraître inférieur, même si lors de ses missions c’est lui qui est théoriquement sous leurs ordres. Il espère trouver un jour la personne qui réussirait à éloigner pour toujours l’ennui mortel qui le ronge et sa poignante indifférence à tout ce qui existe, voir même quelqu’un qui arriverait à avoir assez de caractère pour dominer le sien, le faire plier. Mais cette personne, il ne l’a pour l’instant jamais trouvée.


V-Possessions
Arme(s) utilisée(s) : Traîne toujours une épée de style classique à la ceinture et une dague double tranchant à sa cuisse cachée sous son manteau long. Pour les missions, il rajoute à son équipement une arbalète aux flèches empoisonnées.
Animal de compagnie : Aucun
Objet(s) fétiche(s) : Aucun. N’arrive pas vraiment à s’attacher aux objets.
Moyen(s) de transport : Speeder assez luxueux pour les transports à l’intérieur Anthélima. Sinon, possède trois Dragonfly : un blanc (couleur pacifique) pour les longues distances, un rouge et noir (couleurs agressives) pour ses missions avec les pirates, et un jaune et argent (couleurs des Chasseurs) pour ses missions avec les Sentinelles. Sinon, en cas de besoin, sa compagnie possède une bonne centaine d’Aérostats marchands.
Pouvoirs : Aucun, c’est un Rejeté.


HJ (Hors Jeu)

Qu'est-ce qui vous a incité à vous inscrire? L’univers me plait énormément, ça l’a été comme un coup de foudre. Sinon, un forum rpg me manquait.
Comment avez-vous connu ce forum? Par le Top Site des forums yaoi.
Connaissez-vous déjà quelqu’un sur ce forum et si oui, quel est son personnage? Ne connais personne.
Quel est le code? Code Validé par Eliote ;P
Avez-vous un commentaire à faire? Bravo aux admins parce que c’est du bon boulot et que ça l’a dû prendre du temps. Vous êtes motivés et j’aime ça! Et sinon… je suis dans le gros des examens, alors je ne risque pas d’être très présent jusqu’au 18 mai, mais je tenais à poster ma fiche quand même. Ça ne dérange pas j’espère?


Dernière édition par Paul-Émilien Merandwind le Sam 30 Avr - 21:37, édité 1 fois
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Eliote Monnin
| Modératrice |
Eliote Monnin


Masculin Nombre de messages : 300
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Serment d’allégeance : à Leila-sama !

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MessageSujet: Re: Paul-Émilien Merandwind   Paul-Émilien Merandwind Icon_minitimeSam 30 Avr - 20:12

Bienvenue sur Suria ! =D

Un rejeté ! Quelle bonne idée ! J'avais moi-même l'intention de me créer un perso rejeté, tu me coupes l'herbe sous le pied, vil liseur de pensée XP

Je n'ai rien à redire à cette fiche que j'apprécie beaucoup =) Quelques petites fautes par-ci par-là qu'une bonne relecture suffira à corriger. Préviens moi par MP quand tu penseras avoir fini que je verrouille le sujet.

Et pas de problème pour tes examens tant que tu nous préviens ! Bon courage ! Tu auras ainsi tout le temps pour méditer sur ton premier RP et faire connaissance sur le flood et la Chatbox !

    Te voici donc validé !
    Amuse-toi bien parmi nous !
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