Suria
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 Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell]

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Eliote Monnin
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Eliote Monnin


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MessageSujet: Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell]   Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell] Icon_minitimeMer 10 Mar - 22:50

Mais pourquoi était-il ici ? C’était la question qui revenait le plus souvent dans l’esprit d’Eliote. Il était coincé avec une centaine…un millier de gros bourges au meilleur de leur forme ! Pourquoi donc était-il monté dans cet Aérostat de Plaisance ? Ah oui ! Quand sa mère avait appris qu’il avait l’intention de faire le voyage Anthélima-Kélatolie en AT’s, elle avait hurlé à la mort dans le combiné téléphonique et réservé directement un billet à bord de l’Aerostat le plus sécurisé d’Anthélima [« Et si tu te fais attaquer mon petit Lioliote d’amour ? Les pirates pullulent de nos jours ! »]. Elle lui avait ensuite promis les pires souffrances s’il ne montait pas à bord du Squale [parce que c’était le nom du fameux vaisseau] à l’heure dite et Eliote savait par expérience que sa folle de mère pouvait être capable du pire sadisme [comme lui voler son oreiller pendant la nuit, et par Eros ! Qu’il avait les cervicales fragiles !]. Il se retrouvait donc coincé dans une immense boite de métal pendant 2 heures avec des milliers de snobes comme il les avait en horreur. Et ils étaient PARTOUT ! Dans chaque recoin ! Depuis qu’il avait embarqué, Eliote parcourait le vaisseau à la recherche d’un endroit tranquille. Il avait abandonné le pont où tous les fumeurs de pipe parlaient affaire en s’échangeant des menaces déguisées [et il y en avait des fumeurs de pipe !]. Le hall était tout aussi bondé, de même que les couloirs. Le restaurant s’était changé en salle de bal en attendant qu’il soit l’heure de diner. La plupart des cabines étaient déjà occupées ou alors changées en mini salon de thé. Et il n’avait aucune envie de jouer à la dinette. Partout il les voyait caqueter, glousser, se pavaner avec leur nouvelle robe et leurs beaux bijoux payés grâce à l’argent de leur richissime époux. Il les entendait essayer de parler politique, vantant les mérites d’un membre du Conseil, inventant des anecdotes sur sa vie pour faire semblant d’en savoir le plus. Ils échangeaient des convenances, se faisaient des courbettes à tout va, critiquaient l’attitude bien trop dépensière de la fille d’un quelconque aristocrate. Il n’en pouvait plus. A force de descendre de plus en plus bas dans le vaisseau, il finit par trouver son bonheur : un compartiment vide ! Il s’affala sur la banquette de tout son long. Plus que…1h45 à tenir.

Un mouvement derrière le hublot attira son attention. Il colla son nez à la vitre pour observer au dehors. Une quinzaine de Speeders bien armés encerclaient le vaisseau, leurs « gardes du corps ». Quand on disait que le Squale était l’Aerostat le plus sûr de Suria, on ne plaisantait pas. Un imprenable : de par sa taille imposante, sa coque blindée, ses vigiles et ses équipements redoutables. En collant un peu plus sa joue à la vitre, Eliote pouvait apercevoir les bouts de plusieurs canons. Ce n’était pas non plus pour aujourd’hui l’abordage pirate qui lui offrirait son ticket pour Arhen…Il se rallongea sur la banquette, appuyant sa tête contre le mur. Des vibrations la faisait trembler, la salle des machines ne devait pas être bien loin. Peut être irait-il y faire un tour plus tard. Là, il avait juste envie de rêvasser.

Observant un peu plus la cabine, il y découvrit un luxe discret. Les banquettes étaient confortables et d’un bleu pastel. Les murs étaient recouverts d’une riche tenture avec des arabesques compliquées de la même couleur. Le plafond étaient lui aussi richement décoré avec des gravures et un lustre de cristal. Il remarqua de nombreuses dorures, la douceur de la soie fine des rideaux bleus et or et la qualité du parquet. On se serait cru dans le cabinet d’un somptueux manoir. Le bruit de la porte le sortit de sa rêverie. Une dame d’un âge assez avancé venait d’entrer dans la cabine accompagnée de son ridic… mignon caniche fraichement toiletté. Elle jette un coup d’œil circulaire à la pièce, son regard s’arrête sur Eliote et un sourire hypocrite nait sur ses lèvres trop rouges.

« Oh mais voilà un charmant garçon ! Regarde Arnold comme il a l’air serviable ! s’exclama-t-elle tout en gazouillant devant le museau du dit Arnold. S’il vous plait jeune homme, auriez-vous l’obligeance de garder Arnold avec vous quelques instants ? J’ai une affaire très importante à régler et malheureusement Arnoldichou ne peut pas m’accompagner. Mais ne t’inquiète pas Arnold chéri ! Maman revient tout de suite ! Oui tout de suite mon amour ! Alors sois sage avec le Monsieur. »

Elle embrasse son chien, lui gratouille la tête et pousse des petits bruits étranges avant de le lui planter sur les genoux. Et alors qu’Eliote allait protester, elle ancre ses yeux aux cils trop maquillés dans les siens et agrippe son épaule fermement, ses longs ongles vernis s’incrustant quelque peu dans sa chair.

« Je sais qui vous êtes jeune homme, roux comme vous êtes, vous êtes facilement identifiable. Je connais très bien votre mère, alors tâchez de bien vous occuper d’Arnold, fait-elle d’une voix doucereuse. Sur ce, je vous laisse. Je reviens bientôt chéri, oui oui mon bébé ! Tu vas me manquer ! »

Et elle partit, laissant Eliote et Arnold se regarder dans le blanc des yeux. Mais qu’est-ce qu’il allait faire avec ça ? La bestiole avait tellement de poil qu’on aurait dit une éponge blanche. Un nœud de satin rose avait été noué derrière ses oreilles, lui donnant un air d’œuf de pâques. Et elle pesait une tonne ! Il dégagea comme il put Arnold de ses genoux avant de pointer un doigt accusateur vers lui.

« Tu vas m’écouter Arnold ! Moi j’ai rien demandé et encore moins devoir passer mon voyage avec toi. Alors tu vas être un gentil caniche à sa mémère et tu vas pas bouger ! Allé, assis Arnold ! »

Le caniche jappa et s’exécuta, posant son séant au sol.

« Brave chien ! T’es pas si bête que t’en a l’air. C’est le nœud rose qui doit faire cet effet là. Donne la papatte ! »

Et encore une fois, Arnold s’exécuta. Eliote poussa un sifflement admiratif, il n’avait jamais réussi ce tour avec Cachalot. Peut être devrait-il ramener Arnold au manoir pour qu’il lui explique même s’il doutait que chèvre et chien fasse bon ménage. Et il enchaina les ordres auxquels Arnold obéissait scrupuleusement : finalement il était top ce clébard [une fois qu’on s’était habitué à sa touffe de poil et qu’on lui enlevait le nœud], bien plus que sa maitresse en tout cas.

[Si tu veux visualiser Arnold =P]


Dernière édition par Eliote Monnin le Dim 14 Mar - 22:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell]   Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell] Icon_minitimeDim 14 Mar - 17:02

« Qu'il est mignon ! »

    « Un autre nuage blanc! Bon, forcément, il y en avait plein, vu que Juliet était en ce moment même dans le ciel d'Anthélima. Mais pourquoi? Ne prenait-elle pas le taxi habituellement? Mais pour aller à Kélatoli plus rapidement, l'Aerostat était le meilleur moyen. Elle aurait aimé aller dans un autre Aerostat que le Squale, voir s'il y avait des pirates. Mais bien entendu, son frère ainé ne la laissa pas cette chance, disant qu'en ce moment, ils étaient tous trop dangereux. Mais depuis quand les pirates étaient-ils gentils? Jamais elle n'avait vu un pirate gentil, et encore moins avec elle. On n'y pouvait rien si elle était une fille de la Haute. Mais elle ne s'en plaignait pas : elle ne saurait quoi faire dans sa vie sans cette richesse autour d'elle. Sans ses vêtements, sans ses séances quotidiennes de shopping et elle en passait et des meilleurs.
    Collée à une vitre, elle regardait le monde de haut, comme toujours ou presque. A côté d'elle se dressait une vieille dame, ridée et sans beauté, en train de rire à plein poumons à des blagues sans humour de son mari -enfin, il avait l'air d'être son mari- et postillonnant à côté de sa dame de compagnie qui avait des yeux qui en disait long sur sa situation. Alors la franchise de la petite femme revient de suite, elle se leva, sourit à la dame et fit d'une vois enfantine et sincère :

    -Madame. Vous allez faire une attaque à force de rire comme une baleine. Et vous Monsieur, vos blagues devraient finir à la poubelle, pour ne ps polluer l'air ambiante de l'Aerostat.

    Sans en rajouter plus, elle continua son chemin, loin de ses vieilles peaux. Contrairement aux autres jeune filles de son âge -ou de sa tranche d'âge-, Juliet portait une robe rose pâle, lui arrivant jusqu'aux genoux. Une robe à manches longues, avec un col carré et des petits talons blanc, reflétant l'innocence de la plus jeunes des Lea Shell. Elle portait un collier simple : une chaîne en argent avec un pendentif de rubis. Le bracelet allait de pair et ses boucles d'oreilles étaient deux diamants neutre. Même si elle aurait put passer inaperçu grâce à ses vêtements du jour, certains se retournaient sur son passage, et elle savait pourquoi. Et elle en sourit. Une petite poupée se baladait dans les couloirs, essayant de ne pas s'ennuyer. Parfois, elle lançait un sourire à des personnes qu'elle connaissait au moins de nom sans pour autant s'arrêter. Chose rare chez elle, elle voulait être un peu seule, ou alors s'amuser avec une personne assez intéressante pour qu'elle daigne poser un oeil sur lui ou elle. Alors d'un seul coup... elle se perdit. Juliet ne savait pas où elle se trouvait, mais surement pas près des grandes salles. Il ne restait plus que deux heures avant d'arriver sur la terre ferme. Deux heures d'ennui ou... Aurait-elle de la chance? Devant elle se dressait une porte, la même que pour les compartiment. Un sourire s'afficha clairement sur ses lèvres et elle l'ouvrit doucement.

    Ce qu'elle vit ne la choqua pas tellement, voir pas du tout. Un garçon roux et un chien plutôt singulier se trouvaient déjà dans la pièce. Le chien, elle le connaissait très bien -trop bien. Arnold, le chien à sa mère... La poupée avait dû le supporter tout une journée, quand elle était aller avec sa mère voir cette chère dame... Secouant la tête, elle frappa à la porte. Sans attendre la réponse, elle entra, regardant d'un oeil distant la bête. Quand elle disait qu'il y avait toujours des problèmes avec les animaux de compagnie! Et en regardant la tête du garçon, elle ne put s'empêcher de pouffer. Voilà une tête qu'elle connaissait de vue : Eliote Monnin. Déjà vu lors d'une visite chez lui, mais elle n'avait même pas cherché à l'avoir comme ami. Sa chèvre et son canard l'en avait empêcher.

    -Bonjour. Je vois que je ne suis pas la seule à m'ennuyer ici.

    La plupart... Non, la majorité... Bon d'accord, 95% des passagers avait plus de vingts ans ici. Sur tout ceux qu'elle avait croisé, il n'y avait que des adultes, prêt à sauter à la gorge de n'importes quel personnes de la Haute susceptible de leur apporter ne serait-ce qu'un peu de leur richesse. Une chance pour elle, sa franchise savait dégoûter plusieurs personnes capable de lui faire "du mal". Et là, elle trouvait un garçon -mignon, il fallait l'avouer- de son âge ou à peu près. Dame chance serait-elle avec Juliet?
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Eliote Monnin
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MessageSujet: Re: Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell]   Caniche dans les airs! [Juliet Lea Shell] Icon_minitimeMar 16 Mar - 0:14

Eliote s’était pris d’affection pour Arnold. Après tout, ce n’était pas sa faute s’il était ridicule comme ce n’était pas sa faute s’il était né roux. Ils étaient un peu pareil tous les deux, à supposer qu’un caniche et un roux puissent avoir des points communs. Son nouvel ami semblait l’apprécier aussi : il se laissait gratter le ventre, la langue pendante tout en remuant la queue. Eliote l’aurait presque trouvé mignon si son énorme masse de poils ne l’avait pas rappelé à l’ordre. Et Arnold paraissait savoir tout faire ! Chacun de ses ordres était effectué à la perfection : du simple « Debout ! » au plus complexe « Fais le mort ! ». Il avait été bien éduqué, sans doute par un professionnel. Il voyait en ce chien un moyen de passer tranquillement le reste du voyage, Arnold était surement la meilleure compagnie qu’il puisse trouver à bord du Squale. Plonger dans sa recherche d’un objet à lancer pour le traditionnel « Vas chercher ! », c’est à peine si Eliote entendit la porte s’ouvrir. Déjà la vielle qui revenait récupérer son « Arnoldichou » ?

« Bonjour. Je vois que je ne suis pas la seule à m’ennuyer ici. »

La vielle avait dû se plonger dans la Fontaine de Jouvence ! Devant lui se dressait de toute la hauteur que lui conféraient ses talons blancs une jeune fille de la Haute. Bon sang, et pas n’importe quelle jeunette ! Une poupée de porcelaine ! Après l’avoir dévisagé longuement, son nom finit par lui revenir en tête. Bien sûr qu’il la connaissait, la fameuse dernière des Lea Shell. Une poupée vivante, enfantine et capricieuse : voilà ce qu’on disait d’elle chez lui. La mère d’Eliote n’avait pas la langue dans sa poche et bien que Mme Monnin et Mme Lea Shell soient plutôt bonnes amies, cela ne l’empêchait pas de médire sur les siens. Et comme toujours, elle prenait Eliote à parti. Il soupçonnait même sa mère de jalouser secrètement Juliet pour sa beauté et sa fraicheur qui commençaient à faire défaut à la jadis très belle Mlle Taylor. Mais d’ici, Eliote ne trouvait rien à envier à l’adolescente. Une banale robe pâle qui ressemblait trait pour trait à celle de l’uniforme de son lycée. En Juliet, il lui semblait revoir toutes ses camarades de classe beaucoup trop bavardes, collantes et hypocrites. Un rubis en pendentif : aucune originalité. Un visage fin, une peau laiteuse et les joues roses, des grands yeux de biche d’un rouge étrange, un sourire un peu niais sur des lèvres roses et ourlées. Il fallait bien l’admettre, elle n’était pas si mal mais son air de sainte-nitouche l’exaspérait, on aurait dit une petite fille dans un corps de femme. Les gamines parfaites, il avait toujours envie de les briser, un côté sadique de sa personnalité qu’il ne s’expliquait pas. Et sa main le démangeait. Mais il était un homme civilisé ! Il avait des principes comme celui de ne jamais frapper une femme [à part si elle vous frappait en premier !]. Alors il se contenta de jurer dans sa barbe.

Les filles comme elle, il connaissait, un peu trop à son goût d’ailleurs. A 16 ans, grâce à l’argent de Papa, ça se croit supérieur et ça pette plus haut que son cul, passer lui l’expression. Et elles avaient tendance à être attirées par son côté rebelle de la même façon qu’elles rampaient toutes devant les plus grands hors-la-loi. Il entendait encore leurs cries aigües, scandant les noms des « plus sexy pirates de la Confrérie ». Heureusement, avec le temps, il avait appris à les faire fuir. La solution : la vulgarité. Une bande de prudes, ces filles là. Deux, trois blagues triviales, il passait pour un goujat et l’affaire était dans le sac. Encore fallait-il qu’il soit inspiré, et une gamine prépubère [du moins psychologiquement puisqu’elle était assez bien développée du point de vue morphologique] n’avait pas grand-chose d’une muse. Il allait juste faire le rustre et ça passerait très bien.

« Je ne m’ennuyais pas jusqu’à ce que vous arriviez. Comme vous le voyez, je suis déjà en charmante compagnie. Nous avons besoin d’intimité pour communier, Arnold et moi, alors si vous vouliez bien… »

Il se retint de finir sa phrase par un « dégager de mon espace vital pour que mon caniche et moi puissions passer à la vitesse supérieure». Arnold avait plutôt l’air d’accord avec lui, sans doute parce que le jeune homme avait délaissé son ventre depuis l’arrivée de Juliet. Et Arnold était très possessif. Il se mit à grogner, montrant les dents. Et Eliote réalisa soudain qu’il manquait un ordre à sa longue liste.

« Attaque Arnold ! »

Et le caniche s’élança à cœur joie vers le jupon de la jeune Lea Shell. Décidément, il adorait ce chien ! Il se jetta toutes dents dehors sur le précieux tissu, sans doute le rose qui avait du lui taper dans l’œil [son ruban l’avait traumatisé !]. Il agrippa fermement la robe, la tirant en arrière tout en secouant la tête pour l’arracher. Et même l’étoffe de la meilleure qualité ne pouvait résister à la morsure et à l’acharnement d’un caniche en colère. Le chien finit par revenir vers Eliote, la truffe haute, son forfait toujours dans la gueule qu’il lui apporta comme un chien de chasse ramène sa proie au chasseur. Devant l’état de la robe de la jeune Lea Shell, Eliote fut pris de remords.

« Euh…oups ? Méchant Arnold ! Vilain chien ! On n’attaque pas les gens sans raison, voyons ! »

Et de mauvaise foi aussi…
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